Solène, Jean et Hugo. Âgés de 16 à 20 ans, ces trois Talmondais vivent un rêve éveillés. La semaine prochaine, ils monteront sur la scène de la Longère de Beaupuy (Mouilleron-le-Captif) pour jouer leur comédie musicale – Même pas peur ! – avec la troupe I-majine. « Pour ma part, j’ai rejoint la compagnie il y a 4 ans, raconte Solène Legeay. Je faisais alors de la danse moderne au club de Talmont et du théâtre au lycée. En rejoignant cette aventure, j’ai dû apprendre à chanter. C’est très enrichissant et c’est ainsi que j’ai attrapé le virus de la scène. » Un virus qu’elle s’apprête donc à transmettre à Jean et Hugo, nouveaux dans la troupe, et qui vivront leur première expérience devant autant de spectateurs.
Car les 26, 27 et 28 avril, ils seront 700 par soir à les admirer, parmi une quarantaine de comédiens. Le pitch ? Vingt-six jeunes dans un camp d’été, sous la responsabilité d’un trio de femmes haut en couleur, vont vivre une formidable aventure, riche en surprises et rebondissements.
Évidemment, à une semaine de l’événement, l’excitation commence à monter : « Nous nous entraînons près de 8 heures par semaine. Si nous sommes une troupe amateur, nous essayons au maximum de nous rapprocher d’un spectacle professionnel. »
Avec une telle débauche d’énergie, nul doute que les applaudissements seront au rendez-vous. Ils pourraient même les emmener jusqu’à Paris. En effet, l’association a lancé une campagne de financement participatif pour leur permettre de jouer leur spectacle sur les planches parisiennes. Pour les aider, c’est ici !
Avec ses lignes en bois sur sa façade, Arboris porte bien son nom. Il s’agit du nouveau bâtiment de la MFR-CFA Bourgenay, spécialisée dans les métiers du bois, inauguré vendredi 12 avril, avec notamment Maxence de Rugy, maire de la commune, Bruno Retailleau, sénateur de la Vendée et Dominique Charbonneau, directeur de l’établissement.
La cuisine, c’est une affaire de famille chez les Goffin. En début d’année, Sabine et Yves, ainsi que leur fils Adrien, ont repris le local du 5 bis, rue du Château (Place du Château), qui fut tour à tour une agence immobilière, une pizzeria et une sandwicherie. « Il n’y avait rien depuis 2 ans. Ces derniers mois, nous les avons donc passé à faire des travaux et transformer cette ruine en un lieu confortable et chaleureux. »
Alors que les beaux jours arrivent, il n’est pas rare de croiser, surtout sur notre littoral, des chenilles processionnaires du pin. Pour lutter contre ces nuisibles, nous vous invitons à contacter directement la Mairie (02 51 90 63 65) si vous en repérez sur votre terrain. La Ville contactera alors le
Le Château de Talmont a reçu ce mercredi 3 avril le label Qualité Tourisme, créé par l’État en 2005. Son objectif est d’améliorer la qualité des prestations touristiques en France dans un contexte concurrentiel et avec des clients de plus en plus sollicités et exigeants.
Dans le but de développer la vie démocratique et participative locale, la municipalité de Talmont-Saint-Hilaire a mis en place depuis 2013
Depuis le début de l’année, les élèves talmondais déjeunant à la cantine ont la chance de manger des lentilles et de la mogette récoltées non loin de leur établissement. Elles sont en effet produites par Franck et Grégory Bluteau, qui exploitent plus de 250 hectares en agriculture biologique à Talmont-Saint-Hilaire et à Jard-sur-Mer : « Nous approvisionnons les restaurants scolaires de Talmont, de Jard mais aussi celui de Saint-Vincent-sur-Jard et les collèges de Moutiers-les-Mauxfaits, détaillent-ils. Pour nous, c’est une fierté. C’est une démarche responsable, locale et qualitative qui profite à tous les enfants. »
Les élections européennes auront lieu le dimanche 26 mai prochain. Pour voter, pensez à vous inscrire sur les listes électorales avant le 31 mars. À cet effet, une permanence se tiendra en mairie exceptionnellement le
Pour sauvegarder son patrimoine, la Ville compte sur les propriétaires talmondais ! Ces derniers peuvent en effet être aidés à hauteur de 25 % du coût global de leurs travaux de restauration, entre 1000 et 10 000 €, sous réserve qu’ils soient de qualité et respectueux des règles architecturales. Un véritable coup de pouce !
Atteindre ses objectifs pour changer de vie. C’est à la fois ce qu’a fait David Moineau et ce qu’il propose désormais. En effet, ce Talmondais de 48 ans, professeur de Lettres et d’Histoire dans un lycée professionnel, est devenu coach de vie, après l’obtention de son diplôme de coach certifié. « Je travaille désormais depuis mon domicile, détaille-t-il. Mon métier est d’accompagner les gens vers leurs objectifs dans un esprit d’écoute. »